Le COBOL & JAVA : Deux générations, une même expertise ! Dans l’univers du développement, certains langages traversent les décennies et continuent d’être essentiels. Le langage COBOL, née il y a plus de 60 ans, reste au cœur des systèmes critiques, notamment dans la finance et l’administration. Java, quant à lui, domine les applications modernes avec sa portabilité et sa robustesse, tout en offrant de bonnes performances et des capacités graphiques avancées. Pourquoi maîtriser les deux ? Le COBOL : Maintien et modernisation des systèmes legacyJava : Développement d’applications évolutives et cloud-readyUn atout rare : Les experts capables de jongler entre ces deux mondes sont très recherchés ! Loin d’être obsolète, le COBOL continue d’alimenter les infrastructures essentielles, et Java reste un pilier du développement logiciel. Associer ces deux compétences, c’est allier tradition et innovation. Et vous, que pensez-vous de cette complémentarité ?
Le COBOL et L’IA : entre la robustesse d’hier et le génie de demain On l’entend souvent : “Le COBOL, c’est dépassé !” Et pourtant… ce langage inventé il y a plus de 60 ans est encore le pilier des banques et assurances ! Un héritage toujours indispensable: 70% des transactions financières mondiales reposent sur le COBOL. Une fiabilité et une rapidité inégalées depuis des décennies. Un langage qui fait tourner l’économie, mais qui manque de modernisation… C’est là que l’IA entre en jeu !Loin de remplacer le COBOL, l’Intelligence Artificielle le booste : Automatisation de la maintenance et de la migration du code. Optimisation des performances et détection des anomalies. Interopérabilité avec les nouvelles technologies via des API. Le COBOL ne disparaît pas, il évolue avec l’IA! Un mariage entre robustesse et innovation qui garantit la pérennité des systèmes critiques. Et vous, pensez-vous que le COBOL a encore de belles années devant lui ? Partagez votre avis en commentaire !
Qui se cache derrière vos transaction bancaires? Saviez-vous qu’à chaque fois que vous : Retirez de l’argent à un distributeur Effectuez un paiement par carte Consultez votre solde en ligne un langage de programmation vieux de plus de 60 ans est à l’œuvre ? Le COBOL (Common Business-Oriented Language) est la clé de voûte des systèmes bancaires mondiaux. Grâce à sa fiabilité et à sa capacité à traiter des millions de transactions rapidement et en toute sécurité, il assure la fluidité de nos interactions financières quotidiennes. Un héros discret qui, même après des décennies, reste indispensable dans un monde où précision et efficacité sont primordiales. Et si nous regardions le COBOL non pas comme un langage du passé, mais comme un pilier indispensable du futur ? Qu’en pensez-vous ?
COBOL en 2025 et au-delà : l’héritage résilient d’un pionnier du codage Déficit de compétences et revitalisation de la main-d’œuvre : 👴Un défi important pour la communauté COBOL est le départ imminent à la retraite de la main-d’œuvre. 📉De nombreux programmeurs COBOL approchent de l’âge de la retraite, ce qui entraîne un manque de connaissances qui pourrait menacer la stabilité des systèmes fonctionnant encore sur ce langage de programmation. ⚠️À mesure que les organisations reconnaissent les risques, nous pouvons nous attendre à ce que de solides programmes de formation voient le jour, comblant le fossé générationnel et injectant de nouveaux talents dans les équipes COBOL. 🎓Les cours en ligne, les camps d’entraînement et même les partenariats avec des établissements d’enseignement sont susceptibles d’augmenter, ravivant l’intérêt pour cette vénérable langue. ⏳Alors que beaucoup peuvent considérer COBOL comme une relique obsolète, la présence significative du langage dans les infrastructures critiques signifie qu’il ne disparaîtra pas tout seul. 🚀Au lieu de cela, à l’aube de 2025 et des années suivantes, COBOL est susceptible de connaître des adaptations innovantes grâce à de nouvelles formations de la main-d’œuvre, à l’intégration avec des technologies modernes et à d’éventuelles stratégies de relance menées par la communauté. 🔗Sa position intégrée dans les systèmes existants garantit que l’héritage de COBOL reste avantageux, non seulement en tant que pont entre l’architecture technologique passée et présente, mais aussi en tant qu’opportunité d’adaptation et de croissance au sein de solutions tournées vers l’avenir. ❓La question clé est de savoir s’il y aura suffisamment de programmeurs COBOL qualifiés pour soutenir le flux de travail dans les années à venir.
L’intelligence artificielle: les premières mesures… A quelques jours du Sommet pour l’action sur l’IA à Paris, un volet du texte européen entre en application dimanche. Cependant, sa mise en œuvre complète sera progressive et pourrait être contestée. Hasard du calendrier, à quelques jours seulement du Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) organisé les 10 et 11 février à Paris, les premières mesures du règlement européen AI Act entrent en application, dimanche 2 février. Si le symbole est fort, ce premier volet ne concerne pour l’heure que certains usages interdits. La mise en œuvre du texte, le plus ambitieux du monde à ce stade, sera progressive et fait encore l’objet de débats, voire de contestations. Ces questions ne manqueront pas d’être évoquées lors du rassemblement où l’Elysée attend 100 chefs d’Etats, notamment américain et chinois, ainsi que des acteurs de la société civile et des chefs d’entreprise d’IA, dont Elon Musk, Sam Altman (OpenAI) ou Sundar Pichai (Google).
Vous êtes Ingénieur en informatique : 3 bonnes raisons pour tenter l’aventure dans l’hexagone 1. Un secteur d’activité en pénurie et riche en opportunités En France, il manquerait actuellement selon certaines études environ 80 000 Ingénieurs en informatique. Cette pénurie est devenue une préoccupation nationale notamment avec le lancement du Plan France 2030 axé sur l’innovation technologique. Le budget s’élevant à 2.5 milliards d’euros pour la formation des talents sur ces métiers. Les opportunités sont nombreuses et variées dans l’informatique. Les métiers de l’IT englobent les aspects techniques, de la logique, de l’analyse, mais également de la créativité l’ensemble sur des technologies multiples et en constantes évolutions. 2. Les métiers recherchés Aujourd’hui, les métiers les plus recherchés sont ceux de web designer, de développeur web, d’administrateur de systèmes informatiques et d’analystes de données. Des connaissances en Social Mobile Analytics Cloud, ainsi qu’en développement mobile, sont également très appréciées. 3. Une rémunération attrayante Selon une des dernières études sur l’évolution des salaires sur le secteur de l’informatique menée par Aravati et publiée en 2021, celle-ci serait d’environ 10 % après la pandémie. Cette évolution touche les fonctions en lien avec l’expérience client, l’e-commerce, la sécurité informatique et la data contre 2.8 % pour les cadres. Dans certaines régions, à Nantes par exemple, l’augmentation des salaires varie entre 10 à 20 %. Elle touche principalement les professions en lien avec le développement, les méthodes agiles, la qualité et le test. En outre, la situation a évolué très favorablement du côté des profils tests/QA. Leur salaire a rejoint ceux des développeurs, eux qui n’étaient pas considérés au même niveau il y a encore quelques années. Si les exigences de qualité ont pris plus d’importance , la dimension technique dans les missions du testeur a également augmenté. Le testeur doit être en mesure de s’interfacer avec le produit, les développeurs et les devOps. Son niveau de compétences augmente donc, mais peu de profils sont formés sur le marché, créant ainsi une tension. En résumé, il existe de réelles motivations professionnelles pour s’expatrier en France. Dans le secteur IT : lancer ou booster sa carrière, augmenter ses revenus, apprendre une nouvelle langue, découvrir une nouvelle culture, etc. Quelles que soit ses motivations, il est fondamental de se poser les bonnes questions. L’expatriation est un vrai chamboulement sur plusieurs aspects personnels et professionnels à ne pas négliger ! Il faut savoir faire preuve d’adaptation professionnelle, culturelle et maîtriser la langue du pays visé afin de maximiser toutes ses chances pour décrocher le job de ses rêves 😊. Prêt pour faire tes valises ? Regarde nos opportunités à saisir.
Des jeunes toujours en quête de valeurs dans leur emploi A la recherche d’un management plus humain, d’autonomie et de flexibilité, la jeune génération veut trouver du sens à son travail en adéquation avec ses propres valeurs. Pour cette génération, l’entreprise doit être dynamique et à l’écoute. Le bien-être au travail ainsi que l’ambiance sont déterminants dans le choix de leur poste. Ils recherchent un épanouissement dans leur travail à travers les missions qui ont un impact positif sur la planète. La conciliation entre leur vie professionnelle et personnelle sont aussi très déterminants. Avec un fort désir d’indépendance et d’autonomie, la génération z signe la fin de l’entreprise verticale. En effet, ils sont désireux d’être vite responsabilisés et impliqués dans les décisions stratégiques de l’organisation, les jeunes de la Génération Z entendent être considérés d’égal à égal par leurs managers. Ils souhaitent qu’ils deviennent des coachs et des mentors. Ils aspirent également à être formés tout au long de leur présence dans l’entreprise. 72 % des jeunes estiment en effet compliquer la transition entre école et entreprise. 85 % ont déjà ressenti qu’il leur manquait des compétences pour progresser dans leur carrière. 75 % à penser que c’est à leur employeur de leur apporter cette formation. Des entreprises qui s’adaptent à la génération Z La génération Z se détache de l’image d’une entreprise traditionnelle. Cette nouvelle génération est plus séduite par les nouveaux modes de travail. Entre la recherche du bien-être et un environnement digital, les entreprises devront s’adapter pour attirer et retenir les plus jeunes. Si la crise sanitaire a conduit à l’accélération des projets de transformation digitale, il est désormais crucial de pérenniser ces changements pour accueillir les générations futures. Les entreprises cherchent à s’adapter, mais exigent que les jeunes générations adoptent un comportement « professionnel » (tenue, horaires, respect des codes) en associant le savoir être et savoir. Le savoir-faire se co-construit ensuite avec l’entreprise. Conclusion Cette nouvelle génération amène l’employeur à repenser totalement son modèle d’entreprise afin de pouvoir attirer ces jeunes talents, mais surtout d’être en capacité de les manager et de les fidéliser au sein de son organisation. Afin de déterminer au mieux les valeurs propres à une entreprise, il est essentiel de faire une introspection. Idéalement, le nombre de valeurs qu’une entreprise doit véhiculer se situe entre 3 et 5. Les valeurs fondamentales sont les convictions primordiales qui façonnent la culture d’une entreprise. Si celles-ci sont bien établies, il sera plus facile de motiver les employés à atteindre leurs objectifs.
C’est quoi ? L’intéressement est un dispositif d’épargne salariale lié aux résultats ou aux performances de l’entreprise. Le salarié bénéficiaire de l’intéressement perçoit une prime dont le montant et les conditions de versement sont fixés par l’accord d’entreprise.Les sommes sont immédiatement disponibles, mais le salarié peut choisir de les placer sur un plan d’épargne salariale ou un compte épargne-temps. Pourquoi ? Levier de motivation pour les salariés l’intéressement et la participation sont deux dispositifs d’épargne salariale qui permettent d’associer les salariés à la réussite de l’entreprise et qui prennent la forme de sommes versées aux salariés.Cette prime est un excellent outil pour motiver et fidéliser les salariés et renforcer la performance de l’entreprise. Qui est concerné ? Si une entreprise décide de la mettre en place, l’intéressement concerne tous les salariés. Toutefois, une condition d’ancienneté dans l’entreprise peut être exigée. Quels sont les avantages ? La prime d’intéressement est imposable à certains impôts, mais exonérée de certaines cotisations. Les primes d’intéressement sont exonérées de cotisations salariales (hors CSG CRDS) ; Lorsqu’elles sont placées sur un plan d’épargne d’entreprise (PEE) ou sur un plan d’épargne retraite d’entreprise collectif (PER, PERECO), elles sont également exonérées d’impôt sur le revenu. Dans ce cas, il n’y a donc pas d’imposition sur le revenu des sommes versées au titre du régime d’intéressement. L’abondement éventuellement proposé par l’entreprise est aussi exonéré de cotisations salariales (hors CSG CRDS) et d’impôt sur le revenu ; Les plus-values sont exonérées d’impôt (hors prélèvements sociaux au titre des revenus des placements). Et si je n’opte pour aucun des deux choix ? En l’absence de réponse, la participation sera automatiquement affectée pour moitié dans un PEE avec un blocage de 5 ans et pour moitié dans un PERCO ou un PER Collectif avec une indisponibilité jusqu’à la retraite (si un de ces dispositifs a été mis en place dans votre entreprise). Vous disposez depuis la loi PACTE d’un droit de rétractation d’un mois pour la participation investi par défaut sur le PER Collectif. En ce qui concerne l’intéressement, cette affectation par défaut est uniquement dirigée dans le PEE mis en place dans l’entreprise et fait l’objet d’un blocage de 5 ans.Quelques évènements permettent un déblocage anticipé : – Mariage, conclusion d’un Pacs.– Naissance (ou adoption) d’un enfant, à partir du 3e .– Création ou reprise d’entreprise (par le salarié, son époux(se) ou partenaire de Pacs, ses enfants).– Acquisition d’une résidence principale (ou travaux d’agrandissement ou remise en état suite à catastrophe naturelle).
Pour commencer, qui est cette génération ? Selon l’Insee, les Millennials représenteront près de 75% de la population en 2025 ! La génération Y dites également « les Millenials », est née entre le milieu des années 80 et 90, elle fait suite à la génération X (nés après 1960) et précède la génération Z. Ayant grandis avec les nouvelles technologies, on les surnomme également les Digital Natives. Les Millennials sont indépendants et puisent parfois leurs personnalités auprès d’influenceurs à forte réputation. Ils se montrent également à l’aise avec le travail à distance et exécutent facilement leurs tâches sans devoir disposer d’une place fixe. Comment perçoivent-ils le travail en entreprise ? Contrairement à la génération X, les millenials ont une vision différente du management. Moins sensibles à l’autorité, ils valorisent principalement les compétences et l’attitude, signes pour eux de légitimité managériale. La qualité de vie au travail est un critère primordial pour les millenials, ils doivent pouvoir s’y retrouver, s’y épanouir contrairement au succès et à l’argent qui passent en second plan. Connectés sur les réseaux sociaux, ils ont un esprit communautaire, ils partagent leurs idées n’aiment pas se sentir isolés. La génération Y attend de ses managers l’exemplarité en adéquation avec les valeurs de l’entreprise. Ils veulent être considérés comme des individus à part entière et être consultés lors de prise de décision afin de ressentir le sentiment d’appartenance à leur entreprise. Ils plébiscitent la prise de responsabilité et l’autonomie. A la recherche de challenge, les digitales natives développent leur compétences en multipliant leurs expériences professionnelles. Ils s’interrogent régulièrement sur le sens de leur travail, leur possibilité d’évolution, et leur sentiment d’appartenance à l’organisation. Quelles mesures sont prises face aux demandes de cette génération ? Pour satisfaire les futurs candidats, les entreprises font preuve de nouvelles stratégies de recrutement. Quelle que soit leur taille, elles adapteront leur organisation à ces nouvelles attentes, motivations afin de conserver des collaborateurs engagés et d’attirer les futurs leaders. Si vous voulez que des jeunes de cette génération fassent partie de vos salariés, vous devez leur fournir des conditions de travail flexible. Pour les millennials, la flexibilité a une importance particulière au sein d’une entreprise. Conclusion Les millenials souhaitent obtenir davantage de contrôle sur leur existence et aspirent à plus d’indépendance. Si leur environnement de travail ne leur convient pas, ils n’hésiteront pas à s’envoler vers de nouveaux horizons. L’avenir de l’entreprise et du monde du travail, c’est eux, alors soyons à leur écoute et adaptons-nous pour rendre ce monde meilleur.
Le Mainframe devenu incontournable A la suite de la pandémie du covid-19, la modernisation du Mainframe a été accélérée. Plus que jamais, l’utilité du COBOL considérée jusqu’ici comme obsolète, devient une nécessité fondamentale. En préambule, 72% des grandes entreprises ont plus de la moitié de leurs données sur Mainframe. L’utilisation de ces gigantesques ordinateurs s’est généralisée dans plusieurs domaines. Ils jouent un rôle clé dans les stratégies globales de modernisation. Découvrez aujourd’hui comment le Mainframe a su se réinventer et s’adapter aux nouvelles technologies. Les quatre piliers fondamentaux Le cloud computing Grand allié du cloud computing, le Mainframe a su s’imposer dans les entreprises (secteur bancaire, finances, santé, assurances, services publics), mais aussi une multitude d’autres entreprises publiques et privées). Celles-ci s’appuient à la fois sur le cloud et le Mainframe pour évoluer efficacement dans un monde hybride. Prenons l’exemple d’Amazon Web Services qui se lance à l’assaut de la migration des Mainframes sur son cloud afin de donner la possibilité aux clients IBM qui envisagent de transférer leur application vers le Cloud, de réduire de deux tiers le temps de migration. Pour contre attaquer ce nouveau concurrent, IBM lance un portail appelé « IBM Z and Cloud Modernisation Centre ». Ce portail donne accès à des outils, formations, ressources et à un écosystème de partenaires. L’objectif étant de permettre aux clients IBM Z d’accélérer la modernisation des applications, des données et des processus mainframe pour fonctionner dans des architectures de cloud hybrides. La mobilité La stabilité, la fiabilité et la sécurité du Mainframe sont adaptées aux projets des entreprises du numérique qui se développent autour de la mobilité. Le Big Data La robustesse et la rapidité de traitement de la plateforme font de Mainframe un levier important pour l’utilisation des sujets Big Data. Les réseaux sociaux Le socle informatique du Mainframe a su s’adapter à la transformation digitale. La réactivité et la modernisation de la plateforme lui prédisent une croissance à long terme. En conclusion Le Mainframe perdure à travers le temps et s’adaptera aux générations futures. A ce jour, son rôle central et puissant est essentiel pour faire vivre un éco-système. Il reste le système de prédilection des entreprises et sa nécessité est indispensable. Nos autres articles : Le télétravail, opportunité ou fausse bonne idée ? Lire l’article Cycle en V ou Agilité ? Lire l’article